... est-ce que ça ne prend pas une licence supérieur pour laisser des systèmes automatique sur les airs Dans le cas d'un répéteur c'est clair ... mais dans le cas d'un APRS ... ? A l'époque ou ont commencés les répéteurs et la règlementation à leur sujet, il y avait une véritable préocupation de la part des règlementateurs pour éviter l'interférence et la pollution spectrale. Ce n'est pas un secret que de nos jours, ce qui se passe à l'intérieur de nos bandes, le règlementateur s'en fout éperdument. J'irai même jusqu'à suspecter, pour de bonnes raisons, que ce dernier ne prend plus les moyens pour préserver l'expertise et l'équipement qu'ils ont déjà eue pour enforcer les règlements dans ce domaine.
On s'en rend compte puisque depuis une dizaine d'années,même dans le commercial, c'est I.-C. qui demande aux opérateurs suspectés de causer de l'interférence de faire la preuve qu'ils sont conformes alors qu'antan, ils vous arrivaient avec un tracé spectral qui démontrait que votre équipement n'était pas conforme aux normes d'occupation du spectre. En d'autres mots, on se sert de la preuve fournie par le plaignant pour accabler le suspect mais ils disposent de moins en moins de l'expertise pour discerner sur la validité de la plainte par eux-mêmes.
Bref, je crois qu'en effet, un proprio d'une station opérant de facon autonome devrait avoir les compétences requises pour s'assurer que sa station ne cause pas de préjudice envers la disponibilité du spectre pour les autres usagers y ayant également droit.
Les faits sont tout autres. Que ce soit pour l'APRS, les noeuds AMTOR ou PACTOR qui transmettent sur les bandes HF sans vérifier préallablement si la fréquence est occupée, il semble y avoir un pacte de "non-agression" envers les applications spécialisées opérant de facon autonome sur les fréquences réservées à cet effet par les sois disants "gentlemens' agreement".
Comme dit le diction, tout le monde le fait alors fais le donc!