Salut Francois,
Tu as bien raison dans tes propos. Je me demande cependant une chose, comment aller chercher cette fiabilité, cette confrérie, cette volonté chez les radioamateurs qui ne participent pas ou que très peu.
Je viens de faire le décompte, aujourd'hui 10 avril 2008, il y a actuellement 16190 radioamateurs, ou du moins, 16190 licences délivrées au Québec. Supposons que le chiffre est gonflé par les répéteurs, les clubs, les gens qui ont des doubles indicatifs, etc. Bref, supposons que l'on coupe à 8000 le nombre de radioamateur. Comment faire pour aller chercher ces gars/filles là pour les ramener au radio ou du moins en extraire un lot du paquet pour se mettre à des communications d'urgences ou du moins à des opération qui pourront attirer les yeux du public sur nous et non pas en tant que brouilleur et pollueur visuel (antenne). En fait, dans le but de se faire reconnaître positivement.
Devions nous écrire une lettre à ces 8000 amateurs là pour leur expliquer le projet de service d'urgence, un projet pour réaliser quelques chose pour représenter nos intérêt, nous faire connaître auprès du public à grande échelle ? Ou sinon les rencontrer uns à une pour voir leur réel intérêt. Nous pouvons en faire un bout, mais il faut que d’autres bougent également. Je m'explique :
Si je soulève la question, c'est que j’ai deux choses à dire principalement.
La première, qu’attendons nous pour bouger et passer l’information aux radioamateurs ? Je suis conscient que tous ne sont pas membre des club, que certain en ont ras-le-bol des club et que certain n’opère plus par manque d’intérêt dû à ce qui se passe en onde ou chez les voisins, mais, nous devrions quand même les informer de nos projets et c’est peut être en leur communiquant ce qui s’en vient, si projet il y a à venir dans les communications communautaires ou autre domaine pour se faire reconnaître, qu’ils se montreront intéressé et renouvelleront leur carte de membres, reviendrons sur les ondes, etc. Si d’année après année, les discours reviennent et semblent stagner sans nouvelles actions prises, je suis le premier à débarquer et je suis pas mal certain que plusieurs le ferait ou encore l’on fait. J’étais à la tête d’un club local, j’ai laissé ma place dernièrement car je voyais que ça semblait vouloir stagner et des nouveaux arrivaient avec des nouvelles idées, je leur ait laissé ma place pour permettre de donner un nouveau souffle au club. C’est en train de reprendre du terrain et ca revient tranquillement. Bravo. Mais il ne faut pas lancer la serviette. Il faut continuer d’avancer.
La deuxième chose que je veux dire c’est par rapport aux idées préconçu que les gens, les anciens du moins, ont des organisations en place et des actions que ces radioamateurs peuvent prendre qui peuvent parfois influencer les plus nouveaux. Je ne ferai pas le procès de rien ici. En fait, je veux simplement dire que lorsque nous sommes nouveau, nous nous faisons souvent influencer par les plus anciens. Fait pas ceci, fait pas cela, opère comme ca, ce club là yé pas bon, va avec l’autre, etc. Parfois ça penche du mauvais coté et c’est de la désinformation qui circule. Parfois c’Est positif. En fait, il faut éviter cette mauvaise information de circuler et pour cela, il faut que des plans de communications soient mis en place pour informer tous les radioamateurs. Tous les nouveaux, tous les vieux et les informer même s’ils ne sont pas membres d’association ou de club. Ils faut essayer de ré-enligner tout le monde vers un but commun.
Le club local à pris ce tournant, nous invitons maintenant tous radioamateur à venir participer à nos activités, rencontre, discussion, etc. Nous avons même formé une alliance avec un club voisin. C’est ainsi que nous pourrons avoir une masse critique plus élevée et que nous aurons plus de représentation.
À l’échelle provinciale et même nationale, il faudrait que l’on se prenne en main et que des actions se prennent pour rallier tous le monde dans la même ligne. Parfois, je me demande, pour avoir vécu certaine chose, si d’autre ne vont pas à sens inverse.
Je dis ça, je m’écoute parler et on dirait que cela ne semble possible que dans un monde parfait mais si nous pensons comme cela, nous ne ferons jamais rien. Il faut cesser de dire que ca sert à rien, se retrousser les manches et marcher de l’avant. Je n’ai pas d’idée en place en mentionnant ce petit texte. C’est simplement un constat de la situation que je fais. Je ne suis pas au courant de tout ce qui se fait dans vos région, au niveau des plus grosse association, je ne sais absolument rien. Mon petit texte est en fonction de ce que je regarde et ce qui se passe autour de moi et aussi suite à ce que j’ai vu ailleurs.
Est-ce à nous de faire les premiers pas ? Je ne sais pas, mais il est certain qu’il ne faut pas reculer. C’est donc à nous à combattre les mauvaises informations et de rallier le plus de gens à notre cause.
En fait, je termine avec un appel général :
Quelles actions sont prises actuellement, à plus haut niveau (gouvernement), pour tenter de raviver les couleurs de la radioamateur auprès de la population ? Autrement dit, quel travail est fait pour nous à plus haut niveau. Nous pouvons nous-même agir localement, mais à plus haut niveau, il est difficile de prendre de la crédibilité quand on entend des histoires comme les bâtis d’antenne.
C’était mon petit 2¢ de motivation pour encourager tout le monde dans le même sens et les mêmes intérêts. J’aimerai cependant avoir une réponse à mon dernier paragraphe si certains peuvent en donner.
Merci de m’avoir lu!
Martin VE2BQA