Mauvaise nouvelle alors pour le mont St-Bruno
Bonjour Eric
En ce qui concerne ML-001, effectivement, ça ne donne pas beaucoup de possibilités. Concernant ce cas particulier, j'ai consulté aujourd'hui le gestionnaire des sommets à SOTA/Londres (Simon Melhuish, G4TJC) qui est catégorique: ve2c_1587 est le vrai sommet du Mont Saint-Bruno.
06-03-2018 The case is very clear. We have a spot height at each summit. We cannot ignore this. According to the map ve2c_1587 is unambiguously the true summit. I do sympathize, but we have to take the bad with the good and accept that the topography dictates where are the summits.
Il faut donc se résigner ... en considérant aussi que ce processus de révision va donner de nouveaux sommets.
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En passant, ne pas oublier les règles générales de SOTA dont celle qui est énoncée dans la section 3.5 du manuel général: Il est reconnu qu'il n'est pas toujours possible, pour toutes sortes de raisons, dont les règlements locaux, d'opérer à la position exacte d'un sommet. Dans ces cas, toute activation faite dans la "zone d'activation" est valide. Mais malheureusement, pour le Mont Saint-Bruno, la zone d'activation possible sera en dehors des sentiers permis. Je l'ai affichée en bas ainsi que celle du futur défunt ML-001. Elles sont représentées en couleur vert et on voit dans le cas de la zone de ve2c_1587 qu'elle est trop loin du sentier autorisé.
(Pour SOTA/Québec, on avait défini cette zone comme étant la surface contenue dans une courbe de niveau entourant le sommet à 25 mètres plus bas que son altitude.)
Le but de ces corrections (qui sont faites graduellement pour toutes les associations) n'est que de bien situer les coordonnées exactes des sommets et non d'imposer des points d'activation. Par la suite, la tolérance offerte par la règle que je viens d'énoncer permet parfois de gérer les situations "problématiques".. mais pas dans ce cas hélas.
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** Extrait des règles générales SOTA: Il est vrai qu’opérer depuis le sommet réel d’un pic peut être difficile voire même impossible. Il est également important que les opérations SOTA n’empêchent pas d’autres personnes de profiter de la montagne. Par conséquent, chaque association doit définir une distance verticale qui sépare un sommet du lieu de trafic pour que l'activation puisse être considérée comme valable.